Collection Escortboy. Comment J’Ai Débuté ? Début De La Saison Ii (4/6)

Avec un peu de retard depuis la parution des trois premiers chapitres voici la saison II de cette histoire d’escortboy.

Une pute, j’ai conscience que j’ai basculé, quand je fais entrer un couple dans l’appartement que l’organisation a mis à ma disposition.
Après que Claude ait réussi à ce que j’accepte son argent pour la baiser, me piégeant par là même occasion, j’accepte de devenir une bite tarifée.
Elle me donne le goût à l’argent facilement gagné avec ma verge.
Il faut dire que je suis allé à bonne école quand j’ai accepté de me faire dépuceler par ma voisine loin d’être une beauté.
En ce moment, je me fais sucer par une belle cochonne alors que ma bite est en contact avec la bite du mari, les deux étant dans sa bouche.
Le client a élaboré un plan qui semble très bien se dérouler.

Après ma deuxième passe tarifée, j’acquiers de l’expérience et je reprends l’initiative en m’allongeant sur la piste attirant Véronica sur ma figure, mes lèvres venant caresser son clito gonflé de désir.

• Bouffe-moi beau mâle.
Si j’ai bien compris mon mari, tu es ma chose pour toute la nuit.
Broute-moi, je veux sentir ta langue au fond de mon vagin.

Je voudrais bien lui répondre, mais comme elle est agenouillée sur ma figure mes bras sont coincés.
C’est avec ma tête et ma langue que je m’occupe de son intimité.
En quelques minutes mon visage est trempé, sa chatte coule comme si elle urinait, mais l’odeur est plus excitante que des rejets urinaires.
J’apprends que le corps de certaines femmes expulse du liquide que je récupère sur ma langue.
C’était différent avec ma voisine et Maryse qui au plus loin de mon souvenir mouillaient mais moins que les quantités qui coulent dans ma bouche.

• Regarde chéri, ton protégé semble apprécier ma cyprine, à son âge, je pense qu’il doit être très jeune, il semble découvrir les femmes fontaines.
Aller avale, j’ai compris que l’alcool t’était interdit, mais ma cyprine est sans alcool, juste une pointe de champagne.



Voilà une nouvelle connaissance pour la pute que je suis.
C’est de la cyprine et elle est une femme fontaine.
Femmes fontaines !
Je comprendre sa chatte coule comme les fontaines que j’ai vues en quantité pendant mes vacances dans un village du massif des Bauges en Haute-Savoie.
J’adore entendre une femme prendre son plaisir, c’est le cas avec Valériane qui démarre grâce au léchage de son clito.

• Attends reste, je change de côté.

Elle se relève se retourne, se replace sur mon visage, mais à la différence ma queue rejoint la chaleur de sa bouche.
Là, je sais nous formons un 69, cul, tête, me faisant bander bien plus fort.
J’ai des lacunes en connaissance de sexe, mais j’ai quelques notions surtout avec Maryse qui savait exprimer ses sensations.

• Chérie arrête de sucer ce garçon, tu vas l’user avant qu’il puisse t’apporter le plaisir que tu souhaitais connaître l’an passé pour notre anniversaire de mariage.
Je t’avais promis pendant notre nuit de noce d’être toujours à l’écoute de tes désirs.
Quand tu as proposé de prendre un partenaire pour ressentir en toi l’effet que deux bites pouvaient faire en même temps, j’ai renié mon serment de peur de te perdre au profit d’un autre.
J’ai ruminé mon ressentiment envers moi toute l’année pour en conclure qu’il fallait que cette nuit ait lieu.
J’ai attendu des semaines une fois que ma décision a été prise.
J’ai décidé de prendre la formule « repas et libertinage » que nous sommes en train de vivre.
Célian a bien commencé la soirée et correspond entièrement à ce que j’aie commandé pour réaliser ton fantasme.

Véronica comprenant qu’elle va pouvoir assouvir son envie me quitte pour fondre dans les bras de son maître qui veut se faire pardonner.

• Célian, allons dans ta chambre, le moment est venu pour Véronica de satisfaire son fantasme.

C’est ainsi que pour la première fois, je sens la queue d’un autre homme se frotter à la mienne à travers le périnée de sa compagne.

Et dire que lorsque je tourne la tête, je vois le coffre-fort mis à ma disposition que j’espère remplir vite.

C’est ce que je fais après le départ de ce couple qui est très satisfait.
J’aurais bien baisé la femme en tête à tête dans les jours qui ont suivi, mais un rendez-vous est pris pour l’anniversaire de l’année prochaine.

La cliente suivante est facile à satisfaire, très classique, missionnaire de base avec fellation et 69, il faut dire qu’à l’âge qu’elle semble avoir, plus, je risquerais de la casser.
C’était ma première mémé, ses seins tombaient, mais comme elle restait plus bandante que la voisine qui m’a dépucelé, j’ai assumé à cent pour cent.
Pour preuve, les rendez-vous qu’elle me donne chaque mois à jour fixe.
Elle a de gros moyens, son mari décédé lui a laissé de quoi vivre sa vie avec tous les plaisirs qu’elle souhaite s’offrir.

• Bonjour Bruno, comme te la dit la responsable des communications, nous venons faire le point avec toi, je te présente Lauriane, mon associée.
• Bonjour Lauriane, vous êtes ravissante.

C’est bizarre, sœur ou cousine de Claude, les mêmes, sans lui manquer de respect, en plus jeune.

• Je vois que tu me regardes et que tu me compares avec Claude, c’est ma maman.
• Tu travailles avec elle, c’est incroyable, on me l’aurait dit, j’aurais refusé de le croire.
• Ma fille Lauriane a très vite su comment je gagnais ma vie.
C’est elle qui a eu l’idée du site d’escorte.
• Maman est gentille, elle avait déjà élaboré un tel site.
Mais c’est moi qui l’ai mis en place, je fais des études en informatique.
• Mais !
• Oui, je suis la voix que tu as eu chaque fois que l’on t’appelle.
Je remplaçais l’une de nos standardistes étant tombée malade.
La prochaine fois qu’elle appellera, demande-lui de se présenter.
• Je sens de l’ironie dans votre voix.
• Tutoie-moi, maman m’a raconté la leçon qu’elle t’avait faite.

Nous sommes amenés à nous revoir, et comme nous avons sensiblement le même âge, ce sera plus facile.
• Claude, pourquoi me tends-tu la main ?
• Pour que tu me donnes les clefs de l’appartement.
• Pourquoi, ai-je mal fait ?
• Détrompe-toi, Bruno, plutôt deux fois plus, garde-les, je voulais juste savoir si ton nouveau job te satisfait.
• Tu sens que l’argent rentre, vous devez recevoir une côte part sur chacune de mes passes.
J’ai vu Célian sur le site, cela m’a fait tout drôle, vous prenez 1 000 € chaque fois.
• C’est bon, garde les clefs nous sommes satisfaites, une seule chose, il faut que tu aies tes diplômes, retourne à la fac.
Si un jour tu souhaites arrêter, aucun problème, on en parle entre bons amis et bye.

Je les vois partir, j’aurais bien baisé Claude, mais que dire de Lauriane sa fille.
Je suis leur conseille, je vais à la fac.
Quand je rentre, il faut que j’appelle, la voix est plus suave que celle de Lauriane. J’ai un rendez-vous à 20 heures non loin de l’appartement.
Certainement une mémère doit avoir des difficultés à se déplacer.

J’ai reçu mes affaires sports.
Sans consigne, je tiens à être sélect et je mets l’un des costumes tergals qui me donnent un genre de premier de la classe.
Taxi, adresse, je sonne.

• Entre Bruno, je vois que tu es surpris que ce soit moi qui t’ai fait venir pour passer un moment avec moi.
• Depuis que ta maman a fait de moi une escorte, c’est loin de me choquer.
• Tu es déçu, qu’as-tu comme fantasme de beaucoup d’hommes, sauter la mère et la fille l’une après l’autre.
• Combien payes-tu ?
• Je vois que maman t’a rapidement mise au parfum, nous baisons pour de l’argent, nous baisons utile.
Tu m’excuseras, moi les beaux mecs, c’est à l’œil qu’ils me baisent.
Payé pour une histoire de sexe très peu pour moi.
Dommage, va-t'en, mais avant, regarde ce que tu perds beau gosse.


Lauriane enlève son peignoir.
Elle est magnifique.

• Si tu me veux, accepte qui commandes ici, si je te dis, baise-moi, tu me baises, sinon ton profil disparaîtra de notre site.
• C’est de l’esclavage et des menaces.
• Non, une envie que je me paye.
Es-tu capable de rester sur le site que maman me demande de gérer !

Je fais le kéké devant la jeune fille, mais il faut dire que Lauriane commence à me faire bander.
Il est vrai que l’informatique et moi, ça fait deux.
Alors, j'ouvre ma braguette sortant ma verge.

• Commence par ôter ta veste et ta chemise, je veux voir ce qui a fait fantasmer, maman, tes pectoraux.

Je sens que ma vie va tourner autour de ma poitrine et qu’il va falloir les montrer de plus en plus souvent.
J’enlève tout et la petite s’approche.
Elle pose sa main, je les fais fonctionner.

• Je comprends qu’elle soit étonnée.

Elle a vu le haut, elle se baisse et c’est sa bouche qui commence à me pomper.
Je suis bien avec cette fille, pendant qu’elle me pompe, je jette un coup d’œil circulaire, comme moi, elle est bien logée.
La prostitution semble lucrative.
Pourquoi refuser la part que l’on me propose ?

• Baise-moi Bruno, j’ai envie de cette belle bite dans ma chatte.

Elle me conduit par la main vers sa chambre après s’être redressé.
Une pute, elle doit avoir une chatte comme l’on dit vulgairement un vrai garage à bites.
Pourtant quand je force un peu, je sens que cela résiste…

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